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IMMOBILIER ET FISCALITE EN 2023

Malgré un contexte fragilisé par les tensions économiques et diplomatiques mondiales, l’immobilier en France devrait afficher des performances convenables pour 2022, avec près de 1.120.000 ventes (Source FNAIM).

Pour 2023,

Tout d’abord, le Projet de Loi de Finances de l’Etat, à l’exception d’une augmentation des primes en faveur de la rénovation, ne donne pas de coup de pouce aux dispositifs fiscaux pour le neuf.

Ce dernier est confronté à la flambée des coûts des matériaux, de l’énergie et de la main-d’œuvre. Ensuite, l’inflation, bien que contenue dans notre pays, est à son plus haut niveau depuis 1991 ; ce qui influence négativement le moral des ménages.

Par ailleurs, la hausse du prix de l’ancien associée à un volume moins important de biens à vendre complique la donne. On peut aussi voir dans cet aspect conjoncturel, une tentative de rééquilibrage du marché après des mois d’abondance de biens à vendre, à des prix attractifs.

 

La question du financement

Du côté des établissements financiers, nous avons constaté un recul de la production de crédits depuis l’été dernier, sans embellie depuis.

Les taux des emprunts d’état augmentent encore en cette fin 2022, ce qui devrait conduire à une situation similaire pour ceux des crédits immobiliers.

Ils ont déjà grimpé de 1,79% cet automne selon la Banque de France.

Cela a eu pour effet de rendre les règles du Haut Conseil de stabilité financière (HCSF) plus contraignantes, tout en ralentissant considérablement l’activité du marché.

Mécaniquement, des dossiers de crédit sont donc refusés car la revalorisation des taux restreint la capacité d’endettement des emprunteurs et les banques ne peuvent déroger à une durée de remboursement au-delà de 25 ans.

 

Dans ce climat, qu’en est-il de la volonté des Français de s’investir dans un projet immobilier en 2023 ?

L’institut BVA (observatoire de novembre 2022) vient de publier un baromètre indiquant que 16% de nos concitoyens ont la volonté d’investir dans la pierre. Cependant, la part des primo-accédants est à son niveau le plus bas ; les conditions bancaires le justifiant. De même, 21% des individus n’ayant pas de projet immobilier aujourd’hui le justifient par l’absence d’apport personnel.

De leur côté, les investisseurs désirant acquérir un bien pour le louer sont plus nombreux. ¼ des sondés en ont la volonté, sans doute dans un moment où cet actif est vu comme une valeur refuge. Ou encore parce que la réforme des retraites s’approche ; l’immobilier pouvant être une source de revenus complémentaires pour plus tard. Enfin, l’acquisition de résidences secondaires reste stable tout comme la part de Français souhaitant vendre pour changer de logement.source la TRIBUNE.


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